1. Liens factuels
1.1 Évaluations précédentes de l’UE des écrans solaires, de l’oxyde de zinc ou des nanotechnologies
Comité scientifique des produits cosmétiques et des produits non-alimentaires destinés aux consommateurs. Avis sur l’oxyde de zinc, COLIPA nº S76, SCCNFP/0649/03. Juin 2003.
Comité scientifique des produits de consommation. Déclaration sur l’utilisation de l’oxyde de zinc dans les écrans solaires, SCCP/0932/05. Septembre 2005.
Comité scientifique des produits de consommation. Avis sur la sécurité des nanomatériaux dans les produits cosmétiques, SCCP/1147/07. Décembre 2007.
Comité scientifique des produits de consommation. Précisions sur l’avis SCCNFP/0932/05 sur l’oxyde de zinc, COLIPA nº S76, SCCP/1215/09. Janvier 2009.
Comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux. Pertinence des méthodes existantes à évaluer les risques potentiels liés aux produits de nanotechnologies fabriqués et involontaires. CSRSEN 002/05. Mars 2006.
1.2 Évaluations dans d’autres pays
Les conseillers du gouvernement australien ont évalué en 2009 la documentation scientifique portant sur l’utilisation de nanoparticules d’oxyde de zinc dans les écrans solaires.
http://www.tga.gov.au/industry/sunscreens-nanoparticles-2009.htm
Santé Canada a publié en 2013 l’ébauche d’un document d’orientation sur l’utilisation et l’efficacité des écrans solaires accompagnée de commentaires sur les nanoparticules d’oxyde de zinc.
1.3 Questions-réponses et FAQ sur les nanotechnologies, nanoparticules et écrans solaires
L’association australienne des consommateurs explique le rôle des nanoparticules dans les écrans solaires
http://www.choice.com.au/reviews-and-tests/food-and-health/beauty-and-personal-care/cosmetics/sunscreen-and-nanoparticles/page/nano-matters.aspx
La Commission européenne répond aux questions fréquemment posées sur les nanotechnologies en général :
http://ec.europa.eu/nanotechnology/faq/faqs.cfm
L’institut national américain pour la sécurité et la santé au travail répond aux questions fréquemment posées sur les nanotechnologies et sur la recherche sur la santé et sécurité :
http://www.cdc.gov/niosh/topics/nanotech/faq.html
2. Autres avis
Le réseau australien sur la toxicité livre ses commentaires et ses critiques sur l’avis du CSSC.
Le centre pour une utilisation responsable des nanotechnologies est un groupe de réflexion à but non lucratif basé aux États-Unis et préoccupé par les répercussions sociétales et environnementales des nanotechnologies.
www.crnano.org/
La structure à trois niveaux utilisée dans la communication de l’avis du comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (CSSC) est protégée par les droits d’auteur de Cogeneris SPRL.